Dans la nuit du 31 décembre 2008 au 1er janvier 2009, après des heures à cogner à la porte de la nappe phréatique, cette dernière s’ouvre enfin sur le trésor gardé loin dans le sein de la terre.
Nous ne pouvions offrir un cadeau plus précieux aux femmes de Kabalabougou qui ont la laborieuse tâche de porteuses d’eau.